Petite histoir
Un Maghrébin âgé, vivant depuis 40 ans ŕ Bagdad (Irak) voulait cultiver des pommes de terre dans son jardin, mais labourer la terre était trop difficile pour son âge. Son fils unique, Ali, était détenu dans un camp ŕ Guantanamo. Il décida de lui envoyer une lettre afin de lui expliquer la situation :
« Cher Ali, Je suis trčs malheureux parce que cette année je ne pourrais pas planter mes pommes de terre dans mon jardin. Je suis trop vieux pour retourner la terre seul. J'espčre que tu pourras venir et que mon problčme sera résolu parce que tu le feras pour moi. Je t'aime. Ton pčre »
« Cher pčre, Que Dieu nous préserve ! NE RETOURNE SURTOUT PAS la terre de ce
jardin !!! C'est lŕ que j'ai caché "tu sais quoi". Je t'aime. Ali »
A 4h00 du matin le lendemain, la police locale, le FBI et des agents de la CIA accompagnés d'une délégation du Pentagone, arrivčrent et retournčrent complčtement le jardin ŕ la recherche de matičres dangereuses pouvant servir ŕ la fabrication de bombes, d'anthrax ou n'importe quoi. Ils ne trouvčrent rien et repartirent.
Le jour męme, le vieil homme reçut une autre lettre de son fils :
« Cher pčre, Voilŕ , ton champ est labouré. Je suis sűr que maintenant tu peux planter tes pommes de terre. C'est le mieux que je puisse faire dans les circonstances actuelles. Je t'aime.
Ali »
« Cher Ali, Je suis trčs malheureux parce que cette année je ne pourrais pas planter mes pommes de terre dans mon jardin. Je suis trop vieux pour retourner la terre seul. J'espčre que tu pourras venir et que mon problčme sera résolu parce que tu le feras pour moi. Je t'aime. Ton pčre »
« Cher pčre, Que Dieu nous préserve ! NE RETOURNE SURTOUT PAS la terre de ce
jardin !!! C'est lŕ que j'ai caché "tu sais quoi". Je t'aime. Ali »
A 4h00 du matin le lendemain, la police locale, le FBI et des agents de la CIA accompagnés d'une délégation du Pentagone, arrivčrent et retournčrent complčtement le jardin ŕ la recherche de matičres dangereuses pouvant servir ŕ la fabrication de bombes, d'anthrax ou n'importe quoi. Ils ne trouvčrent rien et repartirent.
Le jour męme, le vieil homme reçut une autre lettre de son fils :
« Cher pčre, Voilŕ , ton champ est labouré. Je suis sűr que maintenant tu peux planter tes pommes de terre. C'est le mieux que je puisse faire dans les circonstances actuelles. Je t'aime.
Ali »